Nous vous l'avions déjà dit, la qualité de vie à Icacal se mérite. Le sentier poussiéreux pour s'y rendre se transforme en canal lorsque les pluies tropicales se manifestent. C'est le cas depuis deux jours et la traversée des ponts demandent un minimum de précautions. C'est 12 km d'une route quasi-impraticable qui demande 45 minutes
patience. Un peu moins pire que les heures de pointe montréalaises mais tout de même...
C'est impressionnant ces conditions routières et on peut imaginer que les champs et les cours d'école sont aussi inondées... Est-ce bien la route vers El Amatillo aussi utilisée par les sympatiques vaches brahmanes?
RépondreSupprimerLes images ici ont été prises dans la plantation de caoutchouc, entre Icacal et Buenos Aires.
RépondreSupprimerPour El Amatillo, on commence le travail début décembre mais on ne s'en sortira pas....faudra passer par notre même trail..