À Rio-Dulce.
On trouve de tout dans notre région, suffit de chercher un peu et de s'organiser pour transporter le tout à notre camp de base sans trop meurtrir les fruis frais.
Encore une fois ,c'est Pauline qui est à l'affût des disponibilités à des prix avantageux.
L'opération "faire l'épicerie" est un chantier en soi. Essentiel à la survie des "voluntarios" autant physique que psychologique....c'est une partie du succès d'une entreprise comme la nôtre. Et, on doit récidiver 2 fois par semaine.
Merci à Luce de nous avoir questionné sur le sujet. Hasta luego.
On trouve de tout dans notre région, suffit de chercher un peu et de s'organiser pour transporter le tout à notre camp de base sans trop meurtrir les fruis frais.
Encore une fois ,c'est Pauline qui est à l'affût des disponibilités à des prix avantageux.
L'opération "faire l'épicerie" est un chantier en soi. Essentiel à la survie des "voluntarios" autant physique que psychologique....c'est une partie du succès d'une entreprise comme la nôtre. Et, on doit récidiver 2 fois par semaine.
Merci à Luce de nous avoir questionné sur le sujet. Hasta luego.
Bon lundi matin les amis, bonne semaine et bon séjour à Icacal. Je suis votre blogue régulièrement et religieusement. Tout ce que vous faites est super intéressant. J'ai hâte de connaître votre organisation dans les autres villages: voyagement, installations, dortoir, cuisine, etc. Et oui, les courses c'est vraiment un chantier. Pour les avoir faites à une reprises l'automne dernier avec Pauline je dois vous dire que c'est fatiguant en mosus ne fût-ce que l'aller retour à Rio Dulce en superbe camion . Amitié et bon séjour à Icacal. Monique Châtillon Icacal, automne 2009
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